Son dernier livre « Je n’existais pas. Les mondes de l’emprise et de la déprise » (2021) présente sa méthodologie d’enquête par le récit de vie de personnes aussi différentes que des femmes victimes de violences intrafamiliales et/ou conjugales, des usagers de drogues engagés dans les trafics, des victimes de sectes ou des travailleurs précaires et surexploités.
Elle y pense la question de la « déprise » : quelles sont les ressources, internes et externes, que mobilisent les victimes pour se sortir du système d’emprise ?
Ainsi dégage-t-elle des pistes utiles aux travailleurs sociaux et aux soignants pour aller vers des victimes entravées par le filet des nœuds de l’emprise.